Survivre... tout simplement (PV avec la personne qui veux)

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Je marche seule dans une ruelle sombre de la ville des bipèdes. Je connais parfaitement ces ruelles étroites. Je sais se qu'elles renferment. Des abris. Des territoires. Pour les solitaires, comme moi. Mieux vaut ne pas pénétrer sur le bout de rue d'un autre félin, au risque de se faire arracher les oreilles... dans le meilleur des cas. Ici, nul amitié, nul famille, les mères abandonnent leur chatons dès qu'ils ont appris à se débrouiller seul. C'est la loi du plus fort qui règne en maître. Et le maître, dans ce quartier, c'est moi. Chaque quartier de la ville des bipèdes à son lot de ruelles sombres, de chats errants. Et chaque quartier à un maître. Nous n voyons jamais les maîtres des autres quartiers, chacun sait qu'il ne faut pas dépasser son propre territoire. C'est la loi, ici. Je n'ai obtenu mon statut de maître qu'après avoir plusieurs fois prouvés mes talents de combattante.

J'ai appris à me débrouiller seule. Nulle mère pour m'apprendre, pour m'apporter de la douceur dans les premiers temps de ma vie. Mon existence n'a été soumise qu'à cette loi. Ici, dans le monde sauvage des chats solitaires, si tu ne sais pas te battre, tu est un chat mort, un bon à rien que les autres n'hésiteront pas à tuer. Je l'ai appris à mes dépends quand j'étais jeune. Alors que j'avance entre les ruelles sombres et quelques fois malodorantes, un rayon de soleil qui filtre à travers les hauts toits des maisons de bipèdes éclaire la longue balafre que j'ai sur le museau. Une cicatrice qui part du front et descend jusque sur mon museau...

Autour de moi, j'entend des ronflements. Les solitaires se reposent. Nous ne sortons principalement que le soir, quand les bipèdes sont rentrer chez eux. Il y a moins de monstres, moins de dangers. Notre survie est un parcours du combattant chaque jour. Eviter les pièges de la ville. Le poison. Les monstres. Les bipèdes. La route. Les autres solitaires. La maladie. Les gros rats. Ici, les rats sont énormes presque aussi gros que nous. Si nous n'y prenons pas garde, ils pourrait nous tuer. C'est un combat de tous les instants.

Quelques fois, des chats domestiques ou des chiens dorlotés par leur maîtres nous rejoignent. Mais ils ne font pas long feux. Ils ne connaissent pas les lois, les dangers, ici. Se n'est pas leur monde. C'est le mien. Le nôtre. Nous évitons les chiens. Les plus gros principalement. Ils nous font peur, à nous, les chats. Nous partageons le même territoire, mais nous tenons le plus éloigner l'un de l'autre. C'est un accord tactique entre nous. Pas besoin de parole. Chacun respecte l'autre quand il est quelque part. Premier arrivé, premier servi. Une autre de nos lois.

Je m'arrête à un croisement, qui donne sur une rue ou les monstres passent de temps en temps. Pour le moment, il n'y en a pas. C'est plutôt étonnant dans la journée, mais pas tant que sa. Quand on est un chat des rues, on s'habitue à tous. Même à tuer. Il nous arrive parfois de devoir tuer pour notre survie. Mais, en règle générale, je préfère blesser, même gravement, un adversaire, plutôt que de le tuer...

J'ai changer. Je ne suis plus comme j'étais quand j'étais jeune. Avant, j'avais un frère, une sœur et une mère aimante. Nous vivions dans une ruelle, sur un tas de chiffons pas vraiment en bon état. Je ne me rappelle plus de leurs noms, s'était il y a bien longtemps. J'étais aventureuse. Je suis sortis dans la rue, ou j'ai rencontrer un chat. Il était cruel. Il m'a attaquer. c'est lui qui m'a fait cette cicatrice au visage. Je me suis enfuie, naïvement, vers l'endroit ou je vivais avec ma famille. Le chat m'a suivie. Morte de peur, je me suis cacher, pendant qu'il tuait ma mère, après un long combat, puis, sans aucun scrupule, aucune émotion, aucun sentiment, mon frère et ma sœur...

Je chemine sur se que les bipèdes appellent "trottoir" en regardant devant moi, indifférente au quelques monstres qui passent dans un sens et dans l'autre. Depuis cet évènement, j'ai beaucoup changer. je me suis endurcie. Je suis devenue puissante, respectée. Tout le monde me craint. J'impose ma volonté, ma voix fait toujours l'unanimité. Je suis froide, sèche, je dédaigne les autres, les ignores. Je ne bavarde jamais inutilement, personne ne vient me déranger sans une bonne raison. Au risque de se faire déchiqueter les oreilles. Je n'aime pas que l'on se moque de moi, j'ai un caractère bien trempée, dans mon genre. Je ne mâche pas mes mots, je dis toujours se que je pense. Qans le moindre remords. Je ne m'étonne plus de rien désormais. Je cours aussi très rapidement, c'est important pour échapper parfois à des chiens plus gros que moi. Tous ne respectent pas l'accord...

Des monstres continuent de passer dans les deux sens, indifférent à ma présence. Les bipèdes montent à l'intérieur et ils les transportent dans leur ventre en faisant un bruit terrifiant. j'ai toujours trouvé sa stupide. Je n'ai pas peur. Je n'ai peur de rien, hormis des chiens de l'arène, un peu plus loin en ville. Ils sont terrifiants et se comporte de manière brutale, sauvage et dépourvus de toute hygiène, celons moi. J'ai garder de ma jeunesse le goût pour me cacher dans les endroits sombres et exigus.

Je m'engouffre dans une petite rue sans issue, menant derrière ce que les bipèdes appellent "boucherie". Tout se que je sais, c'est que l'ont trouve énormément de viandes dans les poubelles. C'est un lieu à repérer dans un quartier, pour pouvoir se nourrir comme il faut sans avoir à tuer des rats pour ne pas mourir de faim. Alors que j'approche du derrière de la "boutique", comme disent les bipèdes - à force de vivre en ville on apprend certains mots de leur langage - j'entend un bruit étrange émanant d'un animal, je ne saurais dire lequel. J'avance rapidement, arrivant derrière la boucherie en un dérapage contrôlé.

Fondatrice Messages : 46 Date d'inscription : 19/03/2015

Bwaah, la ville et son odeur désagréable. Aujourd'hui, je suis de sortie! Je tire avec moi un gros Mastiff d'au moins 90kg! Une belle bête trouver tôt le matin dans cette rue, il avait été abandonné par son maître dans un coin d'une grande rue commerciale. Il avait encore son collier au quelques faux diamants et à la couleur noir du cuir. Le bruit de ses lourds pas résonnaient dans la rue que l'on venait d'emprunter, on pivotait inlassablement, discutant des mouches et du héron. On arriva bientôt dans une ruelle peuplé de matous ronflants.

- Eh beh, y'en a qu'i s'foule pas! marmonnai-je
- T'as bien raison Sekhmet, et si je me fessait une belle brochette? dit le mastiff en bavant à l'idée.
- Faut que tu arrives en bonne état à l'arène, Duck. dis-je en roulant des yeux.

J'avançais dans le noir grandissant de la ruelle, je quitta celle-ci pour emprunter celle d'une ruelle sans issus à l'odeur alléchante. Je voyais que ça se remuait dans le coin des poubelles, un solitaire peut-être? Je m'approcha en disant à Duck de rester en arrière et de surgir si besoin était. J'était haute sur pattes et je fessait souvent peur par le surnom que les chats et des corniauds de la ville me donnait.. "La Chatte de l'Arène." Moi ça me plaisait. Mes muscles roulaient sur mes épaules quand j'avançais telle le chasseur après sa proie. J'aperçu une petite queue touffue émergeant de la grosse poubelle verte foncé. Je m'approcha silencieusement, malgré les lourds pas que je fessait qui soulevaient la poussière. Je grimpa juste à côté, sur une poubelle voisine. Je toucha la queue du bout de la griffe avant de l'attraper et de sortir l'animal de sa cachette.

- Hé cousin, bouge et laisse moi bouffer maintenant. dis-je de mon ton dur.

Invité

En arrivant, je vis une chatte étrange au poil court noir et blanc et aux yeux doré, tirant un félin marron tigré par la queue. En un éclair, je reconnu le chat. C'était mon sous fifre, mon "chat à tout faire". Si elle le mettait dans un mauvais état, j'aurai plus qu'à en choisir un autre. Y a pas beaucoup de chats que j'acceptent d'aider ici, mais lui, c'est bien le seul. A coter de la chatte, je vois un mastif bavant. Dégoutant. Les chiens n'ont donc aucun respect de la propreté ? Comme si les rues n'étaient pas assez sale comme sa ! La chatte avait parler d'un ton dur. Sa se voit qu'elle ne me connait pas. Je réplique d'un ton froid : "Dis donc toi, tu va laisser Altan tranquille immédiatement !" Je la regarde, imperturbable, et continue : "Je suis l' "Ombre Grise" et ici, c'est moi qui commande, c'est clair ?" Pour qui se prend ce chat, à venir sur mon territoire avec ce chien répugnant ? J'ajoute : "Vous aller déguerpir d'ici sur le champ !"

Pour bien montrer mon mécontentement, je feule d'un air menaçant. On ne peux pas me battre... en tout cas pas, tant que je me bat contre un chat et que le chien ne s'en mêle pas. Je ne tolèrerai pas que ses animaux fassent leur lois dans MON quartier ! Non mais. Je la regarde, toujours perché sur la poubelle, le gros mastif répugnant observant la scène. Altan se relève et viens aussitôt se placer derrière moi. Contrairement à se que je m'attendais, il n'est pas apeuré. Tant mieux, il se battra avec moi. Si j'ai choisi Altan - et que c'est le seul chat que je suis prête à défendre - c'est qu'il me ressemble beaucoup, de part ses expériences, ses sentiments, ses pensées -les même que moi - et par son caractère. En observant le chien à la dérobé, je me doute qu'il va être conduit à l'arène par cette chatte. Je l'ai déjà vue quelque fois, mais pas sur mon territoire. Elle va voir se qu'elle va voir. Je l'observe en remuant la queue d'un air menaçant, inclinant les oreilles, montrant les crocs, pour bien leur signifier qu'ils ne sont pas les bienvenus ici.

Fondatrice Messages : 46 Date d'inscription : 19/03/2015

Je vit arriva une minette pas plus haute que le teckel des Bluebloods qui montrait ses crocs, je relacha la queue au maigre minou marron tigré.

"Dis donc toi, tu va laisser Altan tranquille immédiatement !"

Elle me regardait avec ses yeux de merlan frit, Altan, c'est un nom de soumis ça! Ca pourrait sonné bien sur un molosse lacéré. Duck regarda les deux chats avant que le tigré se retira pour aller se cacher derrière sa minette adoré.

"Je suis l' "Ombre Grise" et ici, c'est moi qui commande, c'est clair ? Vous aller déguerpir d'ici sur le champ !"

Je tourna un regard au Mastiff qui commençait a montré les crocs, il s'approcha de la poubelle et d'un geste gracieux et digne, je grimpa sur sa tête d'un bond agile. Mais qu'est ce qu'elle à, l'ombre grise? Pour qui elle se prend, elle a pas bien l'air de comprendre qui règne vraiment ici.

- Eh beh poulette, on a pas l'air d'avoir bien compris. Je suis Sekhmet, ça te dit un truc? SEKHMET.

Duck se baissa pour souffler son haleine hideuse sur le pauvre couple de chatons abrutis. Il montra les crocs, bavant sur le sol, la peur commençait a s’écrire sur le visage du matou marron, alors que l'autre balafrée restait de marbre. Le gros chien aboya d'un coup. Je lui tapota sur la tête.

- Doucement Duck, tu auras ta viande après cette imprévu. ronronnai-je lugubrement. Que va dire Rosko si jamais je reviens blesser? Oh, et les dirigeants, olala, ça ira mal pour VOUS. finissais-je dans un grand sourire de canine blanche comme l'ivoire.

Je m'installa sur la tête du gros chien, assise sur mes longues pattes. J'étais menaçante, surtout avec les chats qui traînaient autour de l'arène. Les chiens, ils m'amusaient à hurlé à mon approche. L'ombre Grise dont je lissait un faible instinct, celui de la peur, au plus profond de ses yeux.

- Alors ma petite ombre insignifiante, quel est ton vrai nom et ton vrai rang ici? je bailla Tu me fais pensé au récit du vieux Algran, celui qui a décimer une famille en suivant un abrutie de chaton après avoir massacré son jolie minois. Heureusement que ce fou est mort par la maladie. je ricana. Bon, c'est pas tout, mais.. j'ordonna d'un tapotement sur le crâne de Duck d'aller chercher dans la poubelle. Il ressortit sa tête avec un sac qu'il remplissa de bout de viande frais en piquant un os pour lui le voyage. Il mordit sauvagement dedans dans un bruit atroce de crissement et de cassures.Nous, on s'en va. je fixa la minette d'un regard lourd.

Invité

Je la regarde tourner un regard au matif répugnant, qui me montre les crocs. Devant lui, je ne flanche pas. Derrière moi, Altan fais de même que moi. Il a été surpris tout à l'heure, mais il est prêt à ma bagarre, comme moi ! Je dois défendre le territoire que je dirige d'une patte acéré. je regarde la chatte grimper sur la tête du chien. Pfff, elle croit me faire peur en étant plus haute que moi ? C'est n'importe quoi. Cette chatte de l'arène se prend vraiment pour la chef ici ? Sa se voit qu'elle ne me connait pas. Elle ne me connait pas ici. Elle dit : "Eh beh poulette, on a pas l'air d'avoir bien compris. Je suis Sekhmet, ça te dit un truc? SEKHMET."

Si elle croit m'impressionner, elle se trompe. Ce nom ne me dit absolument rien. Je me tiens assez éloigner des rares chats de l'arène. C'est pas pour moi cet endroit. Je suis mieux sur un territoire que je connais du bout des griffes. Tout se que je sais, c'est qu'on y fait combattre des chiens. Et ce gros mastif rigolera moins quand il sera face à un chien plus fort que lui. j'ai déjà assister à un combat, par curiosité, pour voir se qu'on faisait de ses chiens, en regardant par une fenêtre. Une fois, sa ma suffit. Je veux plus retourner la bas. Le mastif se baisse et nous souffle son haleine absolument répugnante au visage. Dans mon dos, Altan commence à avoir peur. Je ne lui en veux pas, mais j'arrive à rester de marbre. le chien aboie d'un coup tandis que la chatte lui tapote la tête. Elle ronronne sur un ton lugubre : "Doucement Duck, tu auras ta viande après cette imprévu. Que va dire Rosko si jamais je reviens blesser? Oh, et les dirigeants, olala, ça ira mal pour VOUS." Elle finit ses phrases, censé, je pari, nous faire trembler de peur, en découvrant ses crocs blancs comme l'ivoire.

Se que je m'en fiche de son Rosko juste bon à jeter aux ordures. La femelle s'installe sur la tête de ce répugnant mastif, dont je vois de la bave couleur au sol. Absolument affreux. Elle semble s'enorgueillir d'avoir l'air menaçante. Elle commence à m'échauffer les oreilles, cette minette arrogante qui se crois tout permis. je regarde distraitement le chien et une pointe, vraiment infime, de peur s'insinue dans mes yeux. La chatte stupide ajoute : "Alors ma petite ombre insignifiante, quel est ton vrai nom et ton vrai rang ici?" Non mais ! Je suis le maître ici, elle n'a pas à me parler sur ce ton. je vais te la déchiqueter moi ! Elle lance ensuite : "Tu me fais pensé au récit du vieux Algran, celui qui a décimer une famille en suivant un abrutie de chaton après avoir massacré son jolie minois. Heureusement que ce fou est mort par la maladie. Bon, c'est pas tout, mais.." Elle ricane.

Je bouillonne de rage. De quel droit ! Alors c'est un dénommé Algran qui m'a attaquer dans ma jeunesse. Qui m'a priver de ma mère et de ma famille ? Qui m'a laisser seule dans ce monde si hostile ? Et de quel droit me traite t'elle d'un abruti de chaton ? D'accord, j'étais pas très maligne, mais bon. Son jolie petit minois ? M'avoir massacré ? Je suis encore jolie, et ma cicatrice augmente encore à mon prestige. je vais en faire du pâté pour ce gros mastif, oui ! Je ne peux pas l'a laisser m'insulter sans réagir. La chatte donne une tappe au chien, qui va chercher un sac - mais bien sur, tous les chiens savent faire ce tour ?! C'est très logique - et le remplie d'un bon gros morceau de viande fraiche et prend un os pour lui, mordant dedans sauvagement dans un crissement des plus répugnant. La minette stupide dit : "Nous, on s'en va."

Qu'elle attende une minute, je vais la remettre à sa place avant son départ. Je contrôle ma rage et feule : "Je m'appelle Akyla et je suis le maître de ce quartier ! Je sais très bien qu'elle ai ma place ici, et je sais aussi qu'elle est la tienne... et elle n'est pas ici. Alors tu va déguerpir plus vite que sa avec ce chien, qui, visiblement, t'accompagne ! Vous n'avez pas intérêt à remettre les pattes ici, c'est compris ?" Je les fixe d'un air glacé. J'ajoute : "Si j'étais vous, je partirais, je sais très bien me faire respecter ici, ma parole fais loi !" Je regarde la chatte et lui lance, en guise de "cadeau" de départ, d'un ton froid, méchant, menaçant : "Tu sais quoi ma jolie minette ? Je ne te connais absolument pas et je me fiche complètement de savoir qui tu est, c'est clair ? Ici, c'est moi qui fait régner ma loi, alors tu va rentrer rapidement à l'arène avec ce chien et ne plus revenir ici !" Je les regarde tous les deux, attendant qu'ils dégagent. Je ne pouvais pas les laisser partir sans les remettre à leur place.

Fondatrice Messages : 46 Date d'inscription : 19/03/2015

Je souffla dans un petit sourire narquois, elle en a un culot celle là. Ça me plait bien! Je demanda à Duck d'attendre. Elle me lança son petit serment à deux mulots.

- Je suis le maître de ce quartier!...

Et patati et patata.. Elle commence a me tapé sur les nerfs.

- Tu es maître de CE quartier? C'est mignon.. JE SUIS MAÎTRE DE TOUT LES CHIENS! lancai-je, ma phrase se terminant par des dizaines d'aboiement, retentissant maintenant dans toute la ville.

Je m'étais doucement allongé sur le crâne du molosse immense. Je souriait sadiquement.

- Je suis Sekhmet, tu dois connaitre l'Arène, là où va Duck, j'y suis un peu le maître aussi. Je suis la femelle qui excite les nouveaux, et celle qui conseille les anciens. Je suis la diablesse, la chatte de l'arène, je ramène parfois des mastodontes.

Duck croqua son os. Alors que des aboiements semblaient se rapprocher, je ricana. Les chiens solitaires ou venant de s'enfuir arrivaient. Ça allait pas être jolie, sauf si les maîtres les rattrapent ou qu'un '' alpha'' les arrête. Je m'éloigna en frôlant les deux chats de la patte de Duck, de plus près, on étais immense. Le petit soumis était maintenant secouer de peur. Les grondement et aboiement se fessaient de plus en plus entendre. On quitta la rue en laissant une parole raisonner.

- Je reviendrai ici, il semble que les gros chiens y sont et vont finir par venir jouer avec vous, cousins.

On disparu sous les aboiements enragés des nouveaux venus. Mais aussi des sirènes de police et de fourrière. Ils devront ce caché.

Invité

Je remarque, tout en parlant, que je commence à lui taper sur les nerfs, tant mieux, elle partira beaucoup plus vite, avec ce chien répugnant. Elle partira de MON quartier. Mais, visiblement, elle ne l'a pas entré dans sa petite tête de chatte abrutie. Elle lance : "Tu es maître de CE quartier? C'est mignon.. JE SUIS MAÎTRE DE TOUT LES CHIENS!" Sa phrase se termine par des dizaines d'aboiement, retentissant maintenant dans toute la ville. Terrifiant. Absolument terrifiant, tous ses aboiements de chiens. Mais ils ne nous ferons pas de mal, ils respecteront l'accord que nous avons... et cette femelle stupide ne connait pas l'accord, car, à se que je vois, cet cervelle de monstre de chien est un ancien domestique. Il ne connait donc pas les lois qui régissent ses rues. Et cette chatte à la jugeote d'une souris non plus !

La femelle - je n'ai même pas pris la peine d'écouter son nom... bien que je l'ai tout de même retenue - s'était allonger sur la tête de l'ancien chien domestique et fit un sourire des plus sadiques, qui en aurait fait frémir plus d'un. Mais pas moi, je suis habituée à cela. Tout le monde pense pouvoir me défier, en tant que Maître de ce quartier. Mais je les réduits tous en pièce. Et les Maîtres des autres quartiers font de même. La chatte dit : "Je suis Sekhmet, tu dois connaitre l'Arène, là où va Duck, j'y suis un peu le maître aussi. Je suis la femelle qui excite les nouveaux, et celle qui conseille les anciens. Je suis la diablesse, la chatte de l'arène, je ramène parfois des mastodontes."

Se que je m'en fiche, de se qu'elle dit. Evidement que je connais l'arène, j'en ai parler y a deux minutes à peine, cervelle de rat ! De plus, cela ne me concerne pas, je ne vais que très rarement à l'arène, je préfère rester dans mon quartier. je n'en ai rien à faire de se qu'elle fait avec ses chiens absolument répugnants. Le mastif croqua dans son os dans un bruit affreux pour nos oreilles de chat. Au loin, des aboiements en masse se firent entendre, se rapprochant d'ici. J'ignore le frôlement du gros mastif et me concentre sur les chiens qui arriveront bientôt derrière la boucherie. La chatte nous lance : "Je reviendrai ici, il semble que les gros chiens y sont et vont finir par venir jouer avec vous, cousins."

je la voit disparaitre avec ce gros chiens et je me retourne d'un bloc pour me trouver face à ce bon vieux Neptune, l'alpha de la meute de mon quartier. Pour chien et chat, dans la mesure du possible, nous nous entendons bien. Mais, mêlé aux aboiements des molosses, j'entend aussi les sirènes de la police et de la fourrière. Derrière moi, Altan les entend aussi, et il se dépêche de détaler en sautant par dessus un muret, retournant rapidement dans notre ruelle servant de nid pour tous les solitaires du quartier. Je regarde Neptune, il a l'air comme envouté parce qu'avait dis la chatte tout à l'heure. A ma façon, je tente de lui faire reprendre ses esprits. J'ai beau ne pas trop apprécier les chiens, j'ai pas envie que Neptune se fasse chopper par ses bipèdes abrutis de la fourrière. Un autre chien que lui pourrait ne pas respecter l'accord que nous avons. Derrière lui, d'autres chiens apparaissent...
Je vois, au bout de la rue, le monstre de la fourrière s'arrêter, celui de la police arrivant toujours un peu après. Je n'ai plus le choix, je dois laisser Neptune. Je m'écarte de lui en un bond, tandis que les bipèdes sortent du monstre de la fourrière, avec d'étranges choses à la main, appeler "filets". je sais qu'une fois à l'intérieur, on ne peux plus en sortir. D'autres bipèdes sortent du monstre avec de longs bâtons qui crache le feu, la mort et le sommeil.
Je ne peux plus rien aire pour l'instant pour Neptune. Je détale rapidement jusqu'en haut d'un mur, arrivant à prendre un peu de viande au passage. Perché en haut du mur, je vois ce pauvre Neptune et quelques uns des membres de sa meute se faire viser par les longs bâtons. Je bondis de l'autre coter du mur, tenant le peu de viande que j'ai réussi à prendre dans ma gueule. De l'autre coté, j'entend des bruits terrifiants, des aboiements de douleurs et de rage, et puis plus rien. Quelques temps après, le monstre de la fourrière démarre et disparait, suivi du monstre de la police. Je détale rapidement dans les ruelles en direction de la ruelle ou nous nous sommes établis, nous les chats errants. Si Neptune a été capturer, c'est une catastrophe. Il va y avoir un nouvel alpha qui ne respectera peut être pas nos règles. Alors que je coure et que j'arrive bientôt à notre repaire, je me dis que je dois aller le libérer. Il ne faut pas prendre le risque qu'il y est un nouvel alpha. J'irai à la fourrière dès que le monstre sera arriver la bas. Il ne faut pas que les gens de l'arène est me temps de le prendre...

Ce rp est terminée en ce qui me concerne ^^ je passe sur la fourrière, pour qu'Akyla aille libérer Neptune... tu pourrais faire les humains s'il te plait ^^

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