Grabuge au marché (PV avec la personne qui veux)

Invité

Je marche dans la rue principale de la ville. Pleins de monstres passent dans un sens et dans l’autre à une vitesse folle. Sur les cotés, pleins de belles boutiques de bipèdes, ou l’ont trouve des tas de choses. Je suis devenue experte dans l’art de volé à l’étalage, comme cela. Un peu plus loin se trouve la place de la ville. J’aime bien aller là bas. C’est d’ailleurs la que je vais. Je chemine tranquillement, indifférente aux bipèdes qui me regardent passer sans essayer de m’attraper, heureusement.

En pleine journée, dans un endroit de la place caché par les bipèdes, tous les chats des différents quartiers se retrouvent. C’est une sorte de lieu de rendez vous et c’est de la que commence les frontières entre les différents quartiers. Nous avons un petit endroit à part, nous, les maîtres des différents quartiers. Nous nous voyons rarement entre nous, ce lieu est plus pour les chats errants normaux. Mais c’est un bon moyen de ne pas rester seul et de ne pas tomber dans la folie, car, un chat tombe dans la folie peut faire bien des choses. Des choses auxquels je ne préfère pas penser.

J’arrive sur la place et me dirige derrière un cageot en bois. C’est jour de marché pour les bipèdes aujourd’hui. On peut chaparder encore plus de choses à manger. C’est un vrai festin se jour la, tous le monde, du moins ceux de la « taverne des félins », comme nous l’appelons entre nous – un jour un chat est venu ici en disant que sa faisait plusieurs fois qu’il entendait ce mot quand il passait près d’un lieu ou les bipèdes se réunissaient en groupe. Depuis, nous avons donné ce nom sans vraiment en savoir le sens, nous l’avons juste trouvé beau – doivent partager leur butin du marché, pour mes camarades et moi. Derrière le cageot, je vois avec plaisirs plusieurs félins assis en rond autour d’une délicieuse saucisse, entrain de discuter. Un peu plus loin, un vieux chat, Atlas, que tous le monde respect car je crois bien qu’il est le plus âgé des chats à vivre dans la rue, raconte comment il s’est retrouver dans la rue.

C’est rare de voir de la solidarité dans les ruelles de la ville, mais, la taverne est un lieu spécial ou toute méchanceté est bannie. De cette façon, on est au courant de divers danger, comme d’un chien qui s’est enfui et qui vadrouille dans la ville, ou un lieu ou les bipèdes ont mis du poison, ou encore la capture d’un des nôtres. Dans le fond de la taverne, un groupe de jeunes chats belliqueux se battent gentiment pour un steak de viande. Je passe derrière un rideau miteux, sortant de cet endroit, qui est en fait un ancien hangar ou les bipèdes ne viennent plus, pour entrer dans l’endroit réservé aux maîtres des différents quartiers. Cet endroit est en fait une ancienne pièce du hangar ou l’on mettait divers cartons. Elle est assez spacieuse pour accueillir tous les maîtres, regroupé en cercle autour d’une boîte en bois assez solide.

Je m’approche et m’assoie à ma place, sur un vieux coussin dont le duvet de l’intérieur est parti, et écoute leur conversation. Ils parlent du problème des chiens survenus il y a peu. Tous les molosses ont hurlé pendant de longues minutes dans chaque quartier de la ville. Je suis sure qu’ils répondaient à l’appel étrange de cet Sekhmet. Remarquant ma présence, ils m’interrogent sur se que je pense de tout cela. Je leur explique alors patiemment ce que je crois être l’origine de tous se bruit dans la ville. Chaque maître approuve ma conduite d’un signe de la tête, de la queue ou des oreilles, chacun aurait agit de même dans pareille situation.

Alors que nous discutons entre nous de ce problème que les chiens pourraient causer – c’est le seul sujet ou tous les maîtres arrivent à peu près à se mettre d’accord, étant donner que les chiens causes des problèmes à tout le monde – nous entendons de l’agitation dans l’autre salle de la taverne. Chaque maître se lève et sort pour aller voir se qui se passe. Quand nous passons le rideau miteux, je vois que tous les chats ont l’air agiter. Un félin s’approche de nous et nous informe de se qui se passe.

Des cries retentissent sur le marcher. Un des nôtres est poursuivit par un boucher pour avoir voler une pièce de viande pour la taverne. Un des maître ordonne que tous le monde garde son calme et de ne pas sortir d’ici. Pendant que les félins se remettent à leur place, je jette un coup d’œil au dehors. Je vois un chat serpenter entre les étalages, tenant une saucisse dans sa gueule. Fort heureusement, il a eu l’idée de ne pas se diriger par ici. Mais le boucher le talonne de près en beuglant quand les bipèdes savent faire, même s’ils ne savent faire que cela, beugler.

Fondatrice Messages : 46 Date d'inscription : 19/03/2015

Ah, la ville et son délicieux marché. Qu'il est calme et apaisant habituellement, sauf aujourd'hui.
Je me promenait sur la tête d'un des chiens de l'arène, un tout nouveau trouvé il y a peu par les dirigeants, un gros et immense dogue allemand à la carrure bien détaillé. Une grosse bête aux crocs pointus et à l'aboiement fort. Alors que nous avançons sur la place d'un pas lent, comme dans l'habitude du chien, il part voir la vieille dame qui vent des poulets. Celle-ci lui donne un bout et un autre pour moi même. Je l'accepte volontière. Alors que le boucher courait après un de mes cousins sur la place, je réalise que le bipède maintenait fermement une immense hache broyeuse entre ses mains velues. Je gronde alors qu'il rate de découpé la queue du félin d'un poil de rat. Je saute de la tête du dogue pour m'élancer sur le bipède, c'est avant d’effectuer un bond que je remarque que les maîtres me regarde, enfin, la petite Akyla. Ils parlent souvent de moi et des chiens, ça me plaisait. Je réussi parfaitement une roulade avant de lacérer du bout des griffes le nez du singe nu. J'atterri facilement sur le sol, juste devant lui, entre le chat ayant voler la saucisse et le bipède au nez sanglant. Je montre les crocs, c'est alors que le grand dogue aboi. J'attrape la peau du cou de l'autre chat et m'agrippe rapidement au dogue, me hissant sur sa tête, déposant le chat sur son dos. Je demande au dogue de foncé droit sur le bipède, et au dernier moment avec un impacte, je lui saute dessus, ma poussée déviant le chien et le chat sur son dos. Je descend sur le sol et regrimpe sur le dogue avant de me diriger vers la taverne des félins. Je retire le drap qui est au dessus et dans des miaulements craintifs, descend au milieu de la ronde de coussins, maintenant le chat ayant qu'une pauvre saucisse entre les crocs. Je le lâche et sourie.

- Bonjour les ancêtres sages. dis-je en agitant une oreille demandant au dogue de baisser sa tête.Comment ça va bien?j'attrape les deux poulets et les lances sur le sol, près d'Akyla.Pour vous, mes pauvres affamés. je souris, chassant d'un coup de queue le chat allant se réfugier derrière Atlas.Oh! Mon grand ami, bien le bonjour! j'adresse un long regard à Akyla. Encore toi, salut.

Messages : 32 Date d'inscription : 21/12/2014

Où est-elle? Non de dieux où est-elle? Il faut que tu lui parle, il y aura bientôt un tournois et tu as besoin d'elle. Sans elle comment les chiens pourrons être excités? Ainsi tu la cherche depuis au moins une bonne demi-heure et tu la maudit, oh que oui tu la maudit.

"Sekhmet où est tu bordel?!"

Grogne tu. Elle est certainement partie en ville, tu pourrais demander à des sentinelles de partirent la chercher mais tu le sait très bien, on est jamais mieux servie que par soit même. Tu le sait, ils en profiterons pour se promener et reviendrons bredouille. De plus ce n'est pas comme si tu pouvait leur faire confiance, après tout il ne rêve que d'une chose, c'est d'arracher le tête de cette chatte. Qu'on essaye de lui arracher un poil et on aura à faire à toi. Tout ces stupide clébards qui aboient comme des fou, ça te mets hors de toi.

"Fermez là!"

Aboie tu de ta voix rauque et là plus un son. Tu remarque qu'un des tiens est absent, un nouveau, un dogue allemand. Tu te tourne vers le premier chien qui te passe sous la truffe et grogne.

"Il est ou le nouveau?"

Il t'observe apeuré, sans bouger, tu roule des yeux.

"Répond moi avant que je t'égorge.
-J-je l'ai vue partir avec le chat...le noir et blanc
-Le chat il à un nom sombre idiot."

Tu te tourne vers les cages ou se trouve les gladiateurs Blackblood.

"Mais vous êtes tellement occupé à japper comme des idiots que vous êtes que vous ne le retiendrez probablement jamais."

Il baisse la tête, un peu honteux. Tant mieux. Tu te retourne et te dirige vers la sortie du camp, d'un pas rapide et ferme, au trot. Tu fait une halte et te dirige vers le bureau de ton maitre. Il y est assis remplissant des papiers. Tu jappe pour annoncer ta venue et saisie entre tes mâchoires le collier en fer qui te reviens.

"Tu sors Rosko? Pas de conneries hein."

Il à l'habitude maintenant et sait ce que tu veut. Il te passe le collier autour de la tête. Pourquoi es que tu dois prendre ton collier quand tu sort? et bien c'est simple, tu es le leader ici, il ne peuvent se permettent de te perdre, ainsi si tu te fait capturer par la police ou la fourrière il verront que tu as une médaille avec ton nom et le numéro de ton maître. Et par conséquent, tu ne te fera pas piquer au bout de quelques jours et ton bipède viendra te chercher au plus vite. Une fois cela fait tu sort à toute allures, les chiens se poussent sur ton chemin et si ils ne le font pas tu n'hésite pas à les aider à coup de crocs. Il te faut plusieurs minutes de courses pour atteindre la rue principale. En effet un gros dogue allemand ça laisse pas mal de traces il faut le dire. Tu marche, tranquillement, suivant l'itinéraire de plusieurs humains, ainsi la police crois que tu leur appartient. Ces bipèdes sont vraiment naïf. Soudain tu te stop net. Qu'es que c'est que ce bordel?! un boucher à terre beuglant, et une foule immense s'amassant autour.

"Sekhmet..."

grommelle tu agacé, il n'y as qu'elle pour faire ça. Tu passe discrètement derrière, zig-zaguant. Tu sens enfin cette odeur que tu connais depuis ton adolescence. Tu t'arrête face à un rideau, salle qui semble former une entrée, dubitatif. Tu t'aplatit, car en effet il à l'air plutôt fait pour les chats. Et rampant tu rentre à l’intérieur. Tu ne prête pas attention à le foule de félins qui pousse des crics apeuré, ni à la nouvelle recrue qui s'abaisse plus bas que terre en t'apercevant, Sekhmet c'est tout ce qui compte.

"Aussi discrète qu'un cheval au milieu des poules Sekhmet. Te faire remarquer es vraiment une passion n'es pas?"

Dit-tu à la fois agacer et légèrement moqueur.

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