La femelle se promenait dans la ville, elle aimait cette ville. Ce jour-là, elle avait fait un tour dans la forêt non-loin et y avait trouver deux immenses loups lancés dans un combat à mort. Elle s'était assise et avait regarder, tout en attendant la mort d'un des deux pour rapporté le deuxième à l'arène. Le combat était impitoyable, un coup de croc pour un coup de patte. Ennuyée, Sekhmet se redressa et commença a partir, mais c'est alors qu'un énorme "BOOM" fut entendu, il fit vibrer le sol, la femelle se retourna. L'un des deux gros monstres était tomber, l'autre lui avait arraché la nuque, c'était un immense loup roux qui avait tuer l'immense loup gris. Sekhmet s'approcha, par rapport au chien, les loups avaient un accent plus bref, plus dur.

«Bonjour, je suis Sekhmet, la chatte de l'arène. elle le regarda, les babines redresser pour former un sourire.

La grosse bête était taché de sang, troué de coups de crocs et frapper de coups de griffes. Il s'approcha d'elle, les babines retroussés, la bave au lèvres et le sang dégoulinants de celle-ci, il semblait vouloir la faire fuir, l'attaquer, ou même la tuer. La femelle se redressa, le soleil était dos à elle et projeta son ombre immense et imposante sur l'animal qui s'abaissa sur le coup, soumis.

«Je veux que tu viennes avec moi à l'arène, tu ferras un magnifique combattant. elle dis ceci avec un calme extraordinaire, mais aucun canin ne pourrai lui résisté, elle était puissante.

La femelle avait recruté ce loup sur un coup de tête sans même savoir si il survivrai au blessures qu'il avait. Maintenant, elle était allongée sur la tête du loup comme à son habitude, elle traversait la grande rue commerciale, à chaque pas, des cris s'élevés, de peur mais aussi de chocs. En effet, le loup, à chaque mouvement, laissait couler un immense filet de sang chaud de sa plaie faite à son flanc. Il titubait mais Sekhmet s'en contre fichait. Les deux animaux se dirigeait vers le poste de police où un policier pourrait appeler l'arène et un vétérinaire. Elle passa l'entré du poste, celle-ci formé d'une porte-fenêtre qui roula pour ouvrir le passage, le loup s'écroula et la femelle descendit doucement de sa tête, Biscrock était là, lui aussi. Ce cabot ne s'était encore jamais battu dans l'arène, alors que tout chien doit y passé pour savoir si il peut rester et survivre. Mais grâce à son jeune âge, les dirigeants de l'arène évités les combats pour le renifleur d'os. Elle regarda le policier qui avait tiré une tronche terrorisé en voyant entré Sekhmet, laissant le chien perdant son sang devant le poste. Biscrock était entrain de faire penché sa tête, essayant de lire dans l'expression du policier.

«Tien tien, toi, ici? Quel coïncidence, petit. elle avait parlé d'une voix profonde, terrorisante et extrêmement froide.

Elle ne savait si le chiot l'avait reconnu, mais sa voix et son accent fessait comprendre que c'était la femelle de l'arène. Le chiot commençait à faire pivot pour la regarder, quel serait son expression en voyant le loup immense face à lui? Cette bête ensanglanté, sur le sol, face au poste, se vidant de son sang. Croirait-il que c'était la diablesse qui aurait fait ceci?

La chienne avait penché sa tête, s'inclinant. Elle avait ensuite tenter de regarder en arrière, par dessus l'épaule de Sekhmet, le loup l’intéressait? Elle fit un petit rictus. La chienne inclina de nouveau la tête et regarda Sekhmet, et avec le respect d'un thon envers une sardine, elle lui demanda de sa voix douce mais totalement grincent au oreille de la chatte.

«Je peux la manger? elle la regarda.

C'étais normal d'un chiot abrutis et igniorant de l'arène de demandé si il pouvait se délecté du sang et de la viande d'un animal mourant. Sekhmet se redressa et bondit au dessus de la chienne, mimant de plonger sur celle-ci pour enfin finir sur le bureau du policier. Elle s'approcha du policier, toucha le livre de la "Page Jaunes" et appuya sur le numéro du vétérinaire, fessant comprendre au policier ses attentes. Elle pivote et s'assis pour regarder la chiot.

«Petite, déjà, comprend qu'il faut mieux me parlé, de plus, les animaux que JE ramène, c'est pas du déjeuner ou des croquettes. Il ne se mange pas, il sera soignable, ou jeté aux corbeaux. elle dis ceci avec une voix tellement lourde qu'elle fit s'abaisser Bis.

La femelle redressa la tête, les pupilles rétrécis, le regard imposant et pourtant insultant envers Bis. Sa queue reposait sur ses pattes, les pattes avant rapproché, collés, posé dignement sur le comptoir. Elle avait l'air insulté, puis surtout en rogne envers elle, voir amusé par la situation du loup. Mais vouloir manger et parler comme ceci à Sekhmet, c'était une insulte et une attaque à son image. C'est Sekhmet! Pas un simple rat de laboratoire.